24 Heures du Mans Virtual
Les 24 Heures du Mans Virtuelles verront la présence d’un plateau composé des meilleurs pilotes mondiaux, venus à la fois du sport automobile et de l’esports, s’affronter dans la plus célèbre des épreuves d’endurance sur le légendaire circuit français. La course se déroulera sur la plate-forme de gaming rFactor 2, présentant 50 voitures, partagées en deux catégories (LMP et GTE), en piste pour 24 Heures. Et une liste des engagés riche de têtes d’affiche où figurent un quart du plateau actuel de la Formule 1, d’anciens Champions du Monde F1, des champions d’IndyCar, des vainqueurs des 24 Heures du Mans et, bien entendu, des sim racers au palmarès riche de nombreux titres.
Toutes les informations sur cette course peuvent également être consultées sur 24virtual.lemansesports.com.
La première édition des 24 Heures du Mans Virtuelles vient de s’achever sur la victoire de l’équipe Rebellion Williams Esport, qui remporte la course avec la voiture n°1 (Deletraz / Marciello / Wisniewski / Brzezinski). Les auteurs de la pole-position Dillmann / Guerrieri / Simoncic / Pedersen, au volant de la voiture n°4 engagée par l’équipe ByKolles Burst Esport, sont deuxièmes et précèdent sous le drapeau à damier une autre voiture de Rebellion Williams Esport, la n°13, aux mains de Canapino / Aitken / Arana / Romanidis. En catégorie GTE, Porsche Esports Team a dominé les 24 Heures du Mans Virtuelles dès les qualifications. C’est la Porsche 911 RSR virtuelle n°93 (Tandy / Güven / Rogers / Ostgaard) qui rafle la mise en s’imposant au bout d’une course bien contrôlée. Le pilote anglais Nick Tandy devient ainsi le premier à avoir remporté les 24 Heures du Mans à la fois en réel et en virtuel avec Porsche et Michelin. En seconde position sur le podium de la catégorie on retrouve l’Aston Martin n°95 (Thiim / Westbrook / Sorensen / Biancolilla), tandis que la Corvette n°80 de l’équipe R8G Esports Team (Juncadella / Beche / Jayovski / Kappet) est troisième.
Le réalisme de la restitution de la course par le logiciel rFactor2 a permis aux fans d’Endurance de se plonger dans l’ambiance qu’ils connaissent habituellement, mais aussi aux passionnés de jeu vidéo de découvrir sous un autre angle le sport automobile, et l’importance des pneumatiques en compétition.
Avec 200 pilotes et sim-racers de haut vol engagés sur les 50 voitures qui composaient la ligne de départ, la course a tenu ses promesses en offrant un spectacle de haute intensité. Les pilotes venues d’autres disciplines, tout comme les habitués de l’Endurance et les spécialistes des courses virtuelles ont démontré leur forte implication non seulement dans la préparation de l’événement, mais également dans son exécution. Par ailleurs, la bataille a été intense entre les différents leaders, qui avaient souvent adopté des stratégies très proches, et à la fin de l’épreuve les écarts sont très serrés.
Avec 200 pilotes et sim-racers de haut vol engagés sur les 50 voitures qui composaient la ligne de départ, la course a tenu ses promesses en offrant un spectacle de haute intensité. Les pilotes venues d’autres disciplines, tout comme les habitués de l’Endurance et les spécialistes des courses virtuelles ont démontré leur forte implication non seulement dans la préparation de l’événement, mais également dans son exécution. Par ailleurs, la bataille a été intense entre les différents leaders, qui avaient souvent adopté des stratégies très proches, et à la fin de l’épreuve les écarts sont très serrés.
Au fil de ces 24 heures intenses, les écuries les plus fortes se sont logiquement succédées en tête de l’épreuve. Comme toujours, la voiture de sécurité est venue rebattre les cartes des deux catégories lorsque le drapeau rouge a été brandi. Par ailleurs, la qualité de la réalisation vidéo a permis de percevoir la compétition dans des conditions proches de la réalité, faisant même parfois oublier qu’il s’agissait d’une course virtuelle. Les spectateurs ne s’y sont pas trompés et cette première édition a été très suivie partout dans le monde, également grâce au travail réalisé par les différentes équipes de l’ACO, organisateur de l’épreuve.